mercredi 22 novembre 2017

"Rencontre Littéraire de Bruxelles" organisée par l'éditeur MEO: 28/11 à 19h une rencontre consacrée aux revues littéraires

Rencontre Littéraire de Bruxelles

"Les revues littéraires MARGINALES, TRAVERSEES et MAYAK"


le mardi 28 novembre à 19h 


 Réservation souhaitée
Tél : 0497 577 120
eag.gallery@gmail.com 


Au plaisir de vous y rencontrer...

Jean Jauniaux
Bruxelles, le 22 novembre 2017



 













Patrice Breno (Revue TRAVERSÉES), Jean Jauniaux (Revue MARGINALES) et Hugues Robaye (Revue MAYAK) dialogueront sur le thème "Les revues littéraires".
Une occasion de rencontrer trois animateurs des revues littéraires ont été pour nombre d'écrivains une passerelle idéale vers l'édition d'un premier livre...

Les Rencontres Littéraires de Bruxelles feront dorénavant l'objet d'une émission littéraire animée par Guy Stuckens sur Radio Air Libre

Fondée en 1945, par Albert Ayguesparse, Pierre-Louis de Muyser, et Joseph Bracops, la revue MARGINALES  a publié de nombreux poètes et essayistes et restée une des tribunes des lettres belges de langue française tout en étant ouverte à de nombreux autres écrivains de la francophonie. Albert Ayguesparse en a assuré la direction jusqu’en 1990 (numéro 229). Une longue parenthèse a suivi.
Depuis 1998, elle connaît une seconde vie sous la direction de Jacques De Decker, aujourd’hui secrétaire perpétuel de l'Académie royale de langue et de littérature française de Belgique, qui en a modifié l’orientation tout en conservant les exigences de qualité. Quatre fois par an, la revue lance un thème sur lequel elle invite les écrivains à écrire une fiction. La plupart des écrivains belges de renom ont donné des contributions à la revue, qui n’hésite pas non plus à publier des écrivains moins connus ou même débutants. C’est ainsi qu’y ont fait leurs « premières armes » littéraires des auteurs comme Soline de Laveleye, Kenan Görgün ou Jean Jauniaux, qui en est devenu le rédacteur en chef.

Avec ses plus de 600 auteurs publiés, du monde entier, avec ses milliers de pages, de poésie essentiellement, mais aussi de nouvelles et de créations littéraires, photographiques et picturales, Traversées s'est attachée depuis ses origines à faire cohabiter auteurs confirmés et auteurs peu connus, si pas totalement inconnus du grand public.
Par un format agréable, un contenu attractif et des illustrations qui invitent à la respiration, elle a amené le lecteur à se constituer une bibliothèque la plus intéressante et la plus variée possible. Le choix des textes est assuré par un comité de lecture scrupuleux, ce qui donne à la revue une garantie de sérieux et de crédibilité.
Chaque numéro, à de rares exceptions près, est divisé en deux parties : la partie dossier et la partie florilège, véritable anthologie des textes des auteurs retenus. En matière de dossier, pas de thématique précise, rien d'imposé, mais des sujets, des genres, les nouvelles, les haïkus, les aphorismes, la traduction, les courants littéraires, qu'ils viennent de Tunisie, du Québec, du Mahgreb, du Danemark ou d'autres contrées... Si la littérature française est la plus représentée, le domaine étranger n'est pas oublié avec la poésie anglaise, bulgare, grecque, hongroise, italienne, japonaise. Certains textes sont publiés dans leur langue originale aussi avec une traduction française la plus littéraire possible. 
Outre la revue papier, Traversées dispose d'un site, d'un blog internet alimenté au quotidien par des chroniques, des dossiers de presse, des bio-bibliographies.
Traversées a obtenu le Prix de la presse poétique, en 2012 à Paris.

MaYaK existe depuis 11ans.
Revue-livre annuelle et thématique, MaYaK (« phare » en langues slaves) croise les regards de chercheurs venus d’horizons variés : arts, sciences, sciences humaines, travail de la terre, social, artisanat. Décloisonner les formes de savoir et les formes d’expression : essai, récit, entretiens, poésie, images. Le complexe sans les complications d’usage dans certains milieux.
MaYaK articule ces contributions d’« habitants-chercheurs » en des numéros homogènes (centrés sur une thématique de société) qui ressemblent à autant de suites musicales, orchestrées par la « voix loyale », fil continu qui associe les articles (et les images) au gré d’analogies, de contrastes, de complémentarités…
Sorti en avril 2017, le numéro 8  étudie la place du travail dans nos sociétés d’aujourd’hui et explore des alternatives au consumérisme productiviste (produire/consommer jusqu’à l’épuisement de la terre et de nos âmes), qu’elles soient personnelles, collectives ou émanent des entreprises."


Gérard Adam
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